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Dessau, Hermann: Inscriptiones latinae selectae, t. II (1re partie). In-8, iv-736 pp. (Berlin, Weidmann 1902) Recensione di Seymour de Ricci, Revue Archéologique t. 2 (4e série), 1903-2, p. 372-373 Site officiel de la Revue archéologique Link dell'edizione digitale di questo libro Numero di parole 612 parole Citazione della versione on line : Les comptes rendus HISTARA. Link: http://histara.sorbonne.fr/ar.php?cr=1486 Hermann Dessau, Inscriptiones latinae selectae, t. II (1re partie). Berlin, Weidmann, 1902, in-8, iv-736 pp. Les épigraphistes se plaignent non sans raison du prix très élevé des volumes du Corpus Inscriptionum Latinarum ; ils seront heureux de trouver dans le recueil de M. Dessau tous les textes intéressants du C. I. L., soigneusement classés par ordre de matières, reproduits intégralement, mais en minuscules et accompagnés d’annotations concises, mais suffisantes. Un premier volume publié il y a plusieurs années et donnant le texte de près de trois mille inscriptions, a déjà fait connaître aux travailleurs l’œuvre si utile de M. Dessau ; le nouveau fascicule, par la variété de son contenu et la perfection de l’exécution, ne désappointera aucun des lecteurs du premier volume. Plus de quatre mille inscriptions y sont groupées sous les rubriques suivantes ; inscriptions religieuses, inscriptions relatives aux jeux ; inscriptions relatives aux travaux publics ; inscriptions relatives aux institutions municipales. L’impression du volume est extrêmement correcte et d’une belle apparence ; c’est un beau volume en même temps qu’un bon volume. Quelques observations de détail peuvent ici trouver leur place ; p. 19, dernière ligne, lire Gatti pour Gatli ; n. 3361, note 3, lire 3269 pour 3270 ; p. 64, l. 4 lire loci pour loco ; n. 3515, note, lire deux fois 3269 pour 3270 ; n. 4239 lire Hermapion (?) pour Hermadion ; n. 4295 peut-être prop(ugnatori) ? ; n. 4357 lire XIII pour XII ; n. 4395 le nom Isopharia est expliqué autrement par Froehner, Mélanges d’épigr. et d’arch. (1875), p. 72 ; n. 4417 lire, avec Krebs, κωμ[ά]ζ[ω]ν ; aux exemples de ce verbe cités par Krebs, Aeg. Zeitschr., t. XXXII (1894), p. 64-65, ajouter κωμάζεσθαι dans un papyrus de Berlin publié par Parthey, Memorie dell’Istituto, t. II (1865), p. 440 ; n. 4424, note à la fin, le renvoi 3338 doit être inexact ; n. 4525 lire Erditse d(eo) ; le n. 4528 est à Beauvais, non à Paris ; n. 4533 a, je crois qu’il ne manque rien ; n. 4535 lire Toliandosso pour Toleandosso ; n. 4601 renvoyer à Mowat, Bull. des Antiquaires, 1896, p. 93 ; n. 4684, note 3, lire Seriomaglius pour Seriomaglus ; n. 4688 io = vo(tum) ? ; n. 4698 renvoyer à S. Reinach, Revue celtique, XXI (1901), p. 288-289, pl. I ; n. 4700 lire Bibracti pour Bibraci ; Bibraci dans le t. XIII du CIL, est une simple erreur typographique qui ne figurait pas dans les épreuves ; n. 4702 ne faut-il pas lire Medius Acer Medi Anni[f.] ? ; n. 4704 Icauni est un datif celtique (S. de Ricci, Revue des études anciennes, t. IV, 1902, p. 214) ; n. 4712, note, lire descripta pour desripta ; n. 5013, note, lire Volsiniis pour Volsimis ; n. 5161 lire avec M. Froehner spectat(um) num(en) ; M. Dessau ne connaît pas encore la brillante hypothèse de M. Froehner sur les tessères gladiatoriales (Froehner, Catal. Dutuit, t. II, p. 163). Ce seraient des jetons certifiant que tel esclave est venu dormir dans le temple d’Esculape et y a vu (spectavit) le Dieu en songe. N. 5415. L’inscription existe toujours à la Valette. L’égyptologue anglais Flinders Petrie l’y a dessinée il y a quelques années ; sa copie, qu’il a eu la bonté de me communiquer, est identique à celle donnée par le CIL. ; n. 5741, lire Similem et non Simium comme l’a montré M. Wilcken (Hermes, t. XXXVII, 1902, p. 84) ; n. 5839 lire, d’après ma copie de l’original, [Bonn]a et non [Bonna] ; [Conf]luentes et non [Confl]uentes ; [B]ingium et non [Bi]ngium ; Sefulae et non Seeviae (cf. Cumont, Catal. mus. Bruxelles, p. 31) ; Samarabriva l… et non Samarabriva [l]... ; Atrebatiu[m] et non Atrebatum ; Ba[gaco] et non B[agaco] ; n. 5847 il n’est pas besoin de descendre jusqu’à l’époque de Septime Sévère pour trouver des mesures en leugae sur les milliaires de la Gaule ; on en rencontre dès l’époque d’Hadrien (milliaire de Biozat, près Gannat, Allier). Seymour de Ricci
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