J. de Keitz. De Aetolorum et Acarnanum Sacris. Halle, 1911 ; in-8, 91 p.

L’auteur a pu profiter de quelques textes étoliens inédits que lui a communiqués M. Sotiriadis. Pour la disposition des matières, il a suivi l’exemple de M. Sam. Wide dans ses monographies bien connues sur les cultes de Trézène et de Laconie : dieux et déesses, héros, divination. Bien entendu, il a tiré grand parti des monnaies, qui suppléent un peu à l’insuffisance des textes ; ceux-ci ont été transcrits in extenso. En somme, travail consciencieux, qui n’aurait rien perdu à être écrit en allemand ; le latin de M. Keitz laisse à désirer (1).

S[alomon] R[einach]

(1) Meleager iratus pugna se abstinebat (p. 13). — Tamen au début d’une phrase (p. 15). — Même page, venissent pour venerint. — A la p. 16, fuit est plusieurs fois employé quand il faudrait est. De mon temps, la tête d’une rhétorique écrivait mieux.

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