F. W. Robinson. Marius, Saturninus und Glaucia. Beitraege zur Geschichte der Jahre 106-100 v. Chr. In-8, 134 p. ; Bonn, Marcus et Weber, 1912.

Les violences de Saturninus, qui étonnaient encore de son temps, devinrent presque normales après lui et l’accompagnement ordinaire des luttes politiques. Voilà ce qui donne à son histoire une « signification faisant époque ». C’est peu de chose. Il n’y avait pas la matière à thèse ; les dicussions [sic] de l’auteur avec Mühlls, Niccolini et autres prédécesseurs n’intéresseront personne. Il faut savoir gré à M. F. W. Robinson d’avoir traité son sujet avec grand détail et d’en avoir soigneusement discuté les sources anciennes et modernes ; mais ce travail de « séminaire » aurait pu rester inédit. L’auteur a tort d’écrire en allemand ; son style, visiblement « rectifié », n’en est que plus pénible (1).

S[alomon] R[einach]

(1) Ueberdies ziehen (die allgemeinen Darstellungen) zur Aushilfe vielerlei kaum oder gar nicht begründete Vermutungen an. Je ne connais pas cette langue là.

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