Philarétos, Georges N.: Périclès-Aspasie. Trad. par Mlle Pénélope Philarétos. In-8, viii-141 p., avec gravures.
(Athènes, Apostolopoulos 1911)
Compte rendu par Salomon Reinach, Revue Archéologique t. 18 (4e série), 1911-2, p. 476
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Georges N. Philarétos. Périclès-Aspasie. Trad. par Mlle Pénélope Philarétos. Athènes, Apostolopoulos, 1911. In-8, viii-141 p., avec gravures.


Livre écrit pour le très grand public, par un avocat hellène et philhellène. Quelques phrases font sourire : « Périclès, profondément atteint par les charmes de la Milésienne, était devenu l’instrument de toutes ses coquetteries » (p. 13). Aspasie était-elle belle ? Aucun texte ne l’affirme, mais les auteurs modernes l’admettent : « Entre autres : 1. E. Talbot. 2. Henri Houssaye. 3. André de Mages » (p. 42). Le portrait d’Aspasie « d’après le peintre J. Coomans » (photographie à la p. 42) donne une triste idée du talent de J. Coomans, et la « statue d’Aspasie conservée au Vatican » a changé de nom depuis Becq de Fouquières qui l’a citée. Il y a donc fort à dire, mais il faut ajouter : laudanda voluntas.

S[alomon] R[einach]