AA.VV. (Dentzer-Feydy, Jacqueline - Vallerin, Michèle - Fournet, Thibaud - Mukdad, Ryad et Anas): Bosra. Aux portes de l’Arabie, 365 pages dont ill. et photos en n & b, 1 dépliant, 1 index général (BAHG 5), ISBN 978-2-35159-060-7, 30 euros.
(IFPO, Beyrouth 2007)
 
Compte rendu par Anne Michel, Université Michel de Montaigne-Bordeaux3
 
Nombre de mots : 3136 mots
Publié en ligne le 2008-07-08
Citation: Histara les comptes rendus (ISSN 2100-0700).
Lien: http://histara.sorbonne.fr/cr.php?cr=324
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Ce guide archéologique de la ville est en fait plus qu’un guide : certes conçu comme tel puisque dépourvu de l’apparat critique habituel dans la littérature scientifique (notes infrapaginales), il résume à lui seul toutes les connaissances actuelles sur l’histoire et l’archéologie de la ville de Bosra des origines à nos jours.

 Rédigé à l’initiative des membres de la Mission archéologique française de Syrie du Sud par les spécialistes syriens, français, italiens et allemands essentiellement qui ont mené les recherches dans cette grosse bourgade du sud de la Syrie depuis 40 ans, l’ouvrage se divise en trois parties : la première reprend chronologiquement par grandes phases l’histoire administrative de la ville, resituée au sein du contexte régional, et l’histoire du développement urbain en localisant les principaux monuments conservés ou identifiés. Des éclairages plus précis sur le matériel archéologique spécifique à la période, comme la céramique, le verre, les inscriptions épigraphiques, les mosaïques ou la lecture des noms arabes viennent compléter cette présentation. L’ouvrage est illustré de cartes régionales réalisées suivant une charte graphique homogène, dont les couleurs sont reprises sur les plans de phases des divers monuments dans la seconde partie de l’ouvrage. La seconde partie est conçue comme une promenade archéologique à travers la ville, regroupant une série de notices des monuments visibles, classés par quartiers, qui précède une troisième section où sont proposées des premières synthèses sur l’environnement de Bosra.

 

Ainsi, après une présentation du milieu naturel de la région (J.-M. Dentzer), on apprend qu’un premier établissement est connu dans la ville dès l’âge du Bronze (F. Braemer). Cependant, c’est surtout à l’époque des rois nabatéens que le développement s’accélère (J.-M. Dentzer). À la mort du roi Rabbel II, les Romains annexent en 106 la région qui s’étend du sud de la Syrie à la Mer Rouge, créant la province d’Arabie, dont Bosra devient la capitale avec d’abord le statut à la grecque de cité (M. Sartre). Plus tard, sous la dynastie des Sévères, elle devient colonie, puis métropole de la province. Si les monuments publics emblématiques de la civilisation romaine se développent dès le IIe siècle, c’est surtout à partir du IIIe siècle que se met en place un urbanisme monumental caractérisé par des voies à colonnades, essentiellement dans le quartier central de la ville, qui vient se surimposer à l’urbanisme préexistant, assez lâche et sans plan directeur. Cette trame persistera et sera entretenue au moins jusqu’au Ve siècle. L’implantation chrétienne est assez précoce à Bosra (dès le milieu du IIIe siècle), mais les premiers édifices conservés ne sont pas antérieurs à la fin du Ve siècle, comme en témoignent la grande église à plan centré (« cathédrale de l’Est »), l’église Saints-Serge-et-Bacchus, la basilique du moine Bahira ou l’église des thermes du centre. C’est à la même époque qu’il faut attribuer les deux grandes domus urbaines dites « palais Saint-Serge » (le « palais épiscopal » de Butler) et le « palais dit de Trajan », ainsi que le forum dans l’état qui en a été conservé.

Les premiers siècles islamiques après la victoire militaire des armées arabes en 634-636 ne modifient pas fondamentalement le faciès urbain (L. Korn), même si les activités commerciales commencent à empiéter sur les voies à portiques – dont la destination première ne change pas. Les monuments et niveaux d’occupation stratifiés de l’époque omeyyade sont rares : seule a été identifiée jusqu’à présent une maison près des thermes du sud. La fondation de la mosquée al-Mabrak et celle de la mosquée d’Omar (mosquée du vendredi) remontent au VIIe siècle pour la première et à la seconde moitié du VIIIe siècle pour la seconde, mais les édifices actuellement conservés sont avant tout des bâtiments médiévaux. À partir des premières décades du XIIe siècle, de nouvelles constructions commencent à apparaître : aménagement d’une tour de la citadelle autour du théâtre, petite mosquée al-Khidr, madrasa de Kumushtakîn associée à la mosquée al-Mabrak. Cependant, elles se multiplient surtout à la fin du siècle à l’époque ayyoubide (citadelle du théâtre, agrandissement de la mosquée d’Omar, mosquées de Fâtima, madrasa Abû al-Fida‘-Dabbagha, mosquée de Yaqût), puis à l’époque mamelouke au XIVe siècle (hammam Manjak).

L’intégration de Bosra à l’empire ottoman au début du XVIe siècle semble marquer une récession dans le dynamisme de la ville, suivie, au XIXe siècle, d’un relatif dépeuplement. Bosra n’est plus alors qu’une petite bourgade d’agriculteurs céréaliers, à l’écart des grandes voies de circulation dans un Hauran dominé par des tribus nomades (J.-P. Pascual). Après une évocation des rapports qu’entretient la région avec le pouvoir ottoman, la partie consacrée à  l’époque contemporaine propose une approche plus ethnographique, en évoquant les traditions qui rythmaient  la vie quotidienne des Bostriotes jusque dans les années 1970. La présentation de l’environnement matériel (habitat et construction traditionnels, mobilier, textiles, costumes) est complétée par une évocation des événements marquants de la vie, avec notamment les rituels du mariage et de la mort, les principales pratiques alimentaires. L’étude diachronique de Bosra ne serait pas complète sans l’évocation des récits des premiers voyageurs occidentaux qui ont mené à la redécouverte de la ville antique (J. Dentzer-Feydy) et des principaux travaux archéologiques conduits depuis le milieu du XXe siècle par la Direction Générale des Antiquités et des Musées de Syrie (DGAM), en coopération avec des équipes archéologiques internationales française, italienne, polonaise, américaine et allemande (A. Mukdad).

 

La seconde partie de l’ouvrage décrit les monuments conservés sous forme de fiches monographiques. Afin de faciliter la visite au lecteur du guide, les notices sont classées par ordre topographique. Sont ainsi évoqués les quartiers est (arc nabatéen, cathédrale de l’Est, « palais de Trajan », Saints-Serge-et-Bacchus, « palais épiscopal », mosquée de Fâtima, réservoirs est et sud-est, madrasa Abû al-Fida‘, mosquée de Yâqût), les quartiers sud (amphithéâtre, théâtre, citadelle, musée de la citadelle, cirque, nécropole de Tell Aswad), les quartiers centraux (maison omeyyade et « nouveau prétoire », église des thermes du sud, temple voisin et thermes du sud, rue « du théâtre », rue principale est-ouest avec ses ornements urbains – arcs et tétrapyle, nymphée, exèdre monumentale, rue nord-sud avec ses boutiques, thermes du centre, cryptoportique, forum, macellum), les quartiers ouest (porte des vents, remparts nord-ouest et sud-ouest, retenue d’eau) et enfin les quartiers nord (mausolée Saint-Georges, mosquée al-Khidr, « belles maisons », mosquée d’Omar, hammam Manjak, basilique de Bahîra, mosquée Mubarak, mosquée Musalla al-Mal‘ab, mosquée al-Mabrak, camp romain, source al-Jahîr). Chaque notice reprend en tête le numéro du monument correspondant à celui qui figure sur le plan général de la ville, la datation du monument et les principales références bibliographiques le concernant. La description archéologique suit ensuite les grandes phases chronologiques de l’édifice étudié. Le texte est accompagné de photographies et surtout de nombreux documents graphiques, pour la plupart récents : on trouvera non seulement des plans et coupes des édifices, mais aussi des restitutions en trois dimensions – souvent dues à Th. Fournet, architecte de l’IFPO lors de la préparation du guide – ainsi que des restitutions des plans de quartiers.

L’ouvrage se conclut par des synthèses sur l’environnement de la ville, avec notamment une étude de l’approvisionnement en eau établie à partir des photographies aériennes et des prospections pédestres (J. Leblanc). Si la ville a d’abord vécu de l’eau fournie par la source pérenne, de celle captée dans les wadi environnants acheminée par des canaux jusqu’aux grands réservoirs orientaux et à la retenue d’eau des quartiers ouest, et de celle recueillie dans les citernes privées, rapidement, probablement à l’époque impériale lorsque furent construits les grands ensembles thermaux, un aqueduc fut aménagé. Les premières campagnes de fouilles menés sur un tronçon de ce dernier ont révélé qu’il fut entretenu et réparé au moins jusqu’au VIe siècle. Pas plus que dans le reste de la ville, les premiers siècles islamiques ne marquent de rupture profonde avec les modes et vie et aménagements antérieurs : l’aqueduc a fait l’objet de remaniements liés à des exploitations à caractère artisanal (moulin à grain omeyyade, moulin à eau médiéval). Les prospections pédestres ont permis de repérer des traces de l’habitat rural autour de Bosra (J. Leblanc, E. Bopp), de restituer l’organisation des parcellaires romains (J. Leblanc) et du réseau routier environnant (T. Bauzou). Récits de voyageurs et prospections donnent une image assez précise de l’emplacement et du développement des nécropoles périphériques, qui se dégradent très vite actuellement (A. Sartre-Fauriat). Enfin, les premières analyses paléoenvironnementales permettent d’élaborer une ébauche de restitution de la végétation et des plantes cultivées dans l’Antiquité (J. Dentzer-Feydy, M. Vallerin).

 

La densité des informations contenues dans ce guide témoigne de l’apport considérable des recherches menées ces 40 dernières années à l’initiative de la DGAM, en collaboration avec diverses équipes internationales : le nombre des monuments connus a été multiplié par deux depuis la seconde édition du petit guide sur Bosra publiée en 1985 par S. Mugdad, alors directeur du musée de la ville, et de nombreuses nuances ont été apportées à l’histoire de la ville auparavant écrite uniquement à la lumière des sources littéraires. La connaissance des phases anciennes de la ville, notamment, a progressé, et si dès le IIe siècle de notre ère Bosra est intégrée à l’Empire romain, les aménagements urbains témoignent d’une prospérité exceptionnelle au IIIe siècle, à l’époque où la dynastie africano-syrienne des Sévères règne sur l’Empire. Ces aménagements se marquent notamment par la mise en place d’un urbanisme orthonormé – non exempt d’irrégularités – dont quelques voies bordées de portiques à colonnades ouvrant sur des boutiques ont été récemment dégagées dans les quartiers centraux, et par la construction, entre autres, de deux grands ensembles thermaux refaits aux IVe-Ve siècles. Le mode de vie antique perdure longtemps à Bosra : en témoignent, après un IVe siècle finalement assez mal documenté encore, les réfections du Ve siècle ; comme dans d’autres grandes sites urbains des régions syro-palestiniennes, la rareté des structures omeyyades s’explique probablement davantage par une continuité d’occupation dont témoignent les éléments de la culture matérielle (verre, céramique) que par l’état d’une recherche encore peu développée. C’est là l’un des apports majeurs des recherches archéologiques qui viennent nuancer l’impression de rupture qui se dégageait de la seule étude des sources littéraires.

Cependant, les phases de l’histoire de la ville immédiatement antérieures au début de l’islam apparaissent les mieux connues, ce que révèlent les notices correspondantes – le plus souvent rédigées par des membres de la Mission Syrie du Sud à l’initiative du guide - qui sont aussi les plus développées. On regrettera peut-être que celles rédigées par les autres équipes travaillant à Bosra restent plus succinctes, même pour les périodes romaine et byzantine, époques pour lesquelles les vestiges sont les plus spectaculaires (par exemple sur l’église Saints-Serge-Léonce-et-Bacchus). Le caractère souvent plus sommaire des notices traitant des monuments médiévaux s’explique en partie par un état des connaissances pour l’instant moins approfondi. Le plan de la ville aux périodes islamiques, qui regroupe les édifices se référant aux VIIe-XVe siècles, ne donne qu’une vision encore parcellaire, centrée – hormis la citadelle – sur les monuments religieux (mosquées et madrasas), essentiellement médiévaux. La lecture du guide laisse aussi entrevoir les perspectives encore ouvertes pour la recherche future : le domaine de l’habitat – aussi bien antique que médiéval – reste singulièrement absent de ces pages, alors que des travaux ont été menés en milieu rural pour les régions environnantes du Léjà et de la Batanée.

 

En définitive, ce guide s’impose d’emblée comme un ouvrage de vulgarisation très sérieux, de lecture aisée à condition d’être déjà un peu familier avec la chronologie historique et avec les termes descriptifs architecturaux et archéologiques, mis à la portée du  public averti et féru d’histoire par les spécialistes qui font la recherche. Il servira aussi bien aux chercheurs locaux, qu’aux guides accompagnateurs de voyages culturels et aux étudiants. Les chercheurs y trouveront un ouvrage de synthèse diachronique commode pouvant servir de point de départ à une recherche, puisque chaque notice individuelle reprend de façon exhaustive la bibliographie sur les monuments et que la bibliographie scientifique habituellement donnée dans les notes infrapaginales est reprise dans les 28 pages qui concluent l’ouvrage. Ce guide s’imposera désormais comme une référence incontournable pour toute personne qui s’intéresse à Bosra.

 

SOMMAIRE

Préface (MM), p. IX

Avant-propos, p. XI

Remerciements, p. XIII

Échelle chronologique, p. XIV

Avertissement au lecteur, p. XV

Introduction : Bosra dans son environnement naturel (JMD), p. 1

 

PREMIÈRE PARTIE - HISTOIRE, CULTURE, SOCIÉTÉ, p. 3

 

De l’âge du Bronze à l’époque hellénistique  

 

Bosra avant Bostra (FB), p. 5

Période hellénistique et nabatéenne

Le cadre historique (MS), p. 9

Le développement urbain (JMD), p. 13

La langue et l’écriture des Nabatéens (LN), p. 16

Les dieux avant la Province d’Arabie (LN, JDF), p. 19

La céramique (PMB), p. 21

Le verre (OD), p. 23

 

Période romaine  

 

Le cadre historique et les inscriptions (MS), p. 25

Le développement urbain (JMD, PMB, TF), p. 31

La légion romaine (ML), p. 39

Les dieux (JDF), p. 41

La sculpture (TMW), p. 44

La céramique et les lampes (PMB), p. 53

Le verre (OD), p. 55

 

Période byzantine 

 

Le cadre historique et les inscriptions (MS), p. 57

Le développement urbain (PMB, JMD, JPS), p. 61

La mosaïque (MO, PMB), p. 63

La céramique et les lampes (PMB), p. 67

Le verre (OD), p. 71

 

Période islamique des Omeyyades aux Ottomans 

 

Le cadre historique et l’architecture (LK), p. 73

Les inscriptions (SO), p. 79

Comment lire un nom arabe ? (SO), p. 91

La céramique et les lampes (PMB), p. 95

Le verre (OD), p. 97

 

Période islamique des Ottomans au monde contemporain 

 

Histoire, cultures, économie locale (JPP), p. 99

L’habitat récent (XIXe-XXe siècle) dans la Bosra ancienne (JCM), p. 107

La vie quotidienne (MA, VL), p. 115

La redécouverte de Bosra : les voyageurs anciens (JDF), p. 125

Les travaux archéologiques au XXe siècle (AM), p. 129

 

DEUXIÈME PARTIE - LES MONUMENTS, p. 131

 

Quartier de l’Est 

 

n° 1  - L’arc nabatéen et les massifs à demi-colonnes nabatéennes (PMB, JMD), p. 133

n° 2  - La grande église à plan centré (ou cathédrale de l’Est) (PMB, JMD), p. 137

n° 3  - Le palais dit « de Trajan » (PPF), p. 147

n° 4  - L’église des Saints Serge, Bacchus et Léonce (RFC), p. 155

et le palais « épiscopal » Saint-Serge (NM), p. 160

n° 5  - La mosquée de Fâtima (LK), p. 161

n° 6  - Le réservoir Est (« birket an-Nabatiyah ») (JDF, MV), p. 164

n° 7  - Le réservoir Sud-Est (« birket al-Hâjj ») (JDF, MV), p. 164

n° 8  - L’école coranique (madrasa) de Abû al-Fidâ’ (ou ad-Dabbagha) (LK), p. 167

n° 9  - La mosquée de Yâqût (LK), p. 170

 

Quartier du Sud 

 

n° 10  - Le théâtre (JDF), p. 173

            - La citadelle (CY), p. 179

- Les musées de la citadelle (TMW, OD, PMB, BP, JDF, MV), p.189

n° 11  - Le cirque (« hippodrome ») (JDF), p. 205

n° 12  - L’amphithéâtre (JDF), p. 207

n° 13  - La nécropole de Tell Aswad (ASF), p. 209

 

Quartier du Centre 

 

n° 14  - Le quartier d’habitations à l’est des thermes du Sud

  (JDF, MV, PMB, TF), p. 211

          - Le « nouveau prétoire » (PMB, TF, JDF, MV), p. 213

 - La «maison omeyyade» (JDF, MV, PMB, TF), p. 215

- L’église des thermes du Sud (RFC), p. 217

          - Le temple près des thermes du Sud (JDF, MV, PMB, PPF), p. 218

n° 15  - Les thermes du Sud (HB), p. 219

n° 16  - La « rue du théâtre » (JDF, MV), p. 225

n° 17  - La rue principale est-ouest, entre arc nabatéen et tétrapyle (JDF, MV, PMB, JMD), p. 227

n° 18  - Le nymphée (pseudo « kalybé ») (PMB, JMD, TF, JDF, MV), p. 231

n° 19  - L’exèdre monumentale (prétendu « nymphée ») (PMB, JMD, TF, JDF, MV), p. 235

n° 20  - La rue sud-nord du nymphée vers la mosquée d’Omar (TF), p. 239

n° 21  - Les thermes du Centre (« Khân ad-Dibs ») (TF), p. 243

n° 22  - L’arc central (« Bâb al-Qandîl ») (JDF, MV, JMD), p. 255

n° 23  - Le cryptoportique (CD), p. 257

            - Le forum (CD), p. 261

- Le marché (macellum) (TF), p. 263

n° 24  - Le tétrapyle et la place ronde (JDF, MV, JMD), p. 265

n° 25  - La rue nord-sud passant par la place du tétrapyle (JDF, MV), p. 267

 

Quartier de l’Ouest 

 

n° 26  - La rue principale est-ouest du tétrapyle à la porte Ouest (« Bâb al-Hawâ’ »)

  (JDF, MV, JMD), p. 268

n° 27  - La porte Ouest (« Bâb al-Hawâ’ ») (JDF), p. 269

 

n° 28  - Le rempart de la ville au nord-ouest (FB, JDF, MV), p. 271           

- Le rempart de la ville au sud-ouest (FB, JDF, MV), p. 273

n° 29  - La retenue d’eau du quartier de l’Ouest (prétendue « naumachie ») (JDF, MV), p. 274

 

Quartier du Nord 

 

n° 30  - Le mausolée Saint-Georges (ou mausolée Saint-Elias) (JDF, MV, TF), p. 275

n° 31  - La mosquée al-Khidr (LK), p. 277

n° 32  - La rue est-ouest, de la rue nord-sud (n° 25) à la mosquée de Fâtima (n° 5)  (JDF, MV), p. 279

n° 33  - Les « belles maisons » (JDF, MV, JMD), p. 280

n° 34  - La rue sud-nord de la mosquée d’Omar au camp romain (JDF, MV), p. 281

n° 35  - La mosquée d’Omar (Grande mosquée, mosquée du Vendredi) (LK, SO), p. 283

- Le minaret de la mosquée d’Omar (SO)  , p. 287

n° 36  - Le hammam Manjak (LK), p. 290

n° 37  - La basilique de Bahîra et les annexes nord (RFC), p. 295

n° 38  - La mosquée Mubârak (ou Basmeen), p. 297

n° 39  - La mosquée Musalla al-Mal‘ab, ou mosquée « anonyme » (LK), p. 299

n° 40  - La mosquée Jâmi‘ al-Mabrak an-Naqa  (mosquée de l’agenouillement de la Chamelle) (LK), p. 301

n° 41  - Le rempart Nord et Est (PMB)  , p. 304

n° 42 et 43 - Le camp romain et ses thermes (ML), p. 305

n° 44  - La source al-Jahîr (JDF, MV), p. 309

Bosra hors les murs et ses environs

L’approvisionnement en eau (JL), p. 311

L’habitat à la périphérie de Bosra (JL, EB), p. 316

La villa de Jmarrîn (EB), p. 317

L’organisation du territoire : les parcellaires (JL), p. 319

La végétation et les cultures (JDF, MV), p. 322

Le réseau de communications : les routes (d’après T. Bauzou), p. 325

Les matériaux et les carrières (JCB), p. 327

Les nécropoles et la mort à Bosra (ASF), p. 329

 

Références bibliographiques (MV), p. 335

 

Index général, p. 351

 

Index des édifices de Bosra, p. 363

 

Crédits photographiques, p. 365 

 

 

Liste des auteurs 

Mash‘al al-‘Adawî = MA

Michel al-Maqdissi = MM

Christian Augé = CA

Pierre-Marie Blanc = PMB

Eva Bopp = EB

Frank Braemer = FB

Henri Broise = HB

Christiane Delplace = CD

Jacqueline Dentzer-Feydy = JDF

Jean-Marie Dentzer = JMD

Odile Dussart = OD

Raffaella Farioli Campanati = RFC

Thibaud Fournet = TF

Lorenz Korn = LK

Jacques Leblanc = JL

Valérie Lefebvre = VL

Maurice Lenoir = ML

Nicolo Masturzo = NM

Jean-Christophe Moncel = JCM

Anas Mukdad = AM

Laïla Nehmé = LN

Marek Olszewski = MO

Solange Ory = SO

Jean-Paul Pascual = JPP

Pauline Piraud-Fournet = PPF

Brigitte Pittarakis = BP

Maurice Sartre = MS

Annie Sartre-Fauriat = ASF

Jean-Pierre Sodini = JPS

Michèle Vallerin = MV

Sophie Vatteoni = SV

Thomas M. Weber = TMW

Cyril Yovitchitch = CY