AA.VV.: Hermary, Antoine (dir.) - Corré, Xavier - Gaggadis-Robin, Vassiliki - et alii (collab). Nouvel Espérandieu : VI - Marseille et ses environs, 492 p., 32 ill., 3 cartes, 204 pl., 80€
(Co-édition Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris - Ville de Marseille, service des musées, Marseille 2019)
 
Compte rendu par François Queyrel, EPHE
 
Nombre de mots : 2982 mots
Publié en ligne le 2020-04-23
Citation: Histara les comptes rendus (ISSN 2100-0700).
Lien: http://histara.sorbonne.fr/cr.php?cr=3635
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          Le volume consacré à la sculpture de Marseille et de ses environs fait honneur par sa présentation soignée à la série du Nouvel Espérandieu qui, sous la direction d’Henri Lavagne, s’enrichit rapidement de catalogues de référence dans cette grande entreprise de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, comme le souligne dans la préface son Secrétaire perpétuel Michel Zink (p. V). Prenant la suite du Recueil général … dû à Émile Espérandieu (tomes I-XI, 1907-1928), continué par Raymond Lantier (tomes XII-XV, 1947-1966) et par Paul-Marie Duval pour le dernier tome (XVI, 1981), le Nouvel Espérandieu, qui s’intitule Recueil général des sculptures de la Gaule, rassemble les sculptures de la Gaule pré-romaine et romaine dans une présentation matérielle de bonne qualité avec des photographies et des notices répondant aux normes actuelles des catalogues scientifiques. Dans ce tome VI de la série, sous une couverture rigide, avec une reliure aux feuillets cousus et sur un papier couché épais, les 204 planches en couleur présentent de magnifiques photographies du Centre Camille Jullian, dues à Christine Durand, avec Loïc Damelet et Lionel Roux, qui donnent à ce volume la première place.

 

         On s’attend à trouver réunies dans un volume intitulé Marseille et ses environs toutes les sculptures antiques découvertes dans le sol marseillais. On en comptait 125 au total dans les volumes d’Espérandieu ; il reste ici 92 pièces qui sont sûrement de provenance marseillaise, alors même que des trouvailles ont enrichi le corpus au cours du XXe siècle. Une sélection rigoureuse a été opérée, ce qui explique sans doute que les réflexions liminaires du directeur de la collection (H. Lavagne, p. VII-IX) soient teintées d’une légère déception : Marseille est source de « désillusions », peut-être parce qu’on a trop prêté à la colonie phocéenne. Beaucoup de sculptures ont été abusivement attribuées au sol de la ville, comme la korè de Lyon, qui est, à juste titre, rejetée dans l’annexe II, due à Antoine Hermary (p. 155-158).

 

         Les 196 notices au total sont toutes illustrées d’une excellente photographie au moins. Douze auteurs ont été mobilisés pour les rédiger, avec une charge de travail inégalement répartie. En l’absence du tableau récapitulatif qu’on attendrait dans ce volume, la liste dressée ci-dessous est classée selon le nombre de notices signées par chacun :

- Vassiliki Gaggadis-Robin (VGR) : 64

- Laura Rohaut (LR) : 45

- Antoine Hermary (AH) : 28

- Emmanuelle Rosso (ER) : 23

- Philippe Jockey (PhJ) : 15

- Sophie Ledrole (SL) : 12,5

- Titien Bartette (TB), avec Anne Roth Congès (ARC) : 3

- Xavier Corré (XC) : 2

- Aurora Taiuti (AT) : 2

- Laurent Védrine (LV) : 1 (0,5+0,5)

- Myriam Sternberg (MS) : 0,5.

 

         Béatrice Vigié (BV), mentionnée au nombre des auteurs (p. 1), ainsi que sur la couverture et la page de titre, a rédigé avec XC et LV la plus grande partie de l’introduction (p. XVIII-LXVI et notes p. LXX-LXXXVIII), tandis que AH l’ouvrait (p. XV-XVIII et notes p. LXVII-LXX). Qu’on me pardonne d’adresser un petit reproche à AH, qui a dirigé la publication de ce volume : il est souhaitable, pour cerner la part qui revient à chacun, de doter un ouvrage d’une table de concordance avec les noms des auteurs ; on trouve en revanche les index attendus (p. 163-172), une liste des abréviations et une bibliographie (p. 177-194) ainsi que des concordances (p. 173-176).

 

         L’introduction souligne d’abord la sévérité du choix opéré par rapport au premier volume d’Espérandieu, qui rassemblait 64 sculptures (AH, p. XV). Il faut pourtant convenir que le présent catalogue, avec ses 196 notices, inclut bien des sculptures de provenance douteuse ou de provenance extérieure à Marseille. La suite de l’introduction explique en grande partie les raisons de ce choix, dicté par l’histoire des collections (XC, LV, BV, p. XVIII-LXVI) : on trouvera dans ces pages un aperçu précieux sur le temps des collectionneurs et l’histoire des musées à Marseille, mise en rapport avec les découvertes archéologiques qui y ont été faites notamment depuis les fouilles de la Bourse (1967-1983).

 

         Comme l’indique le sommaire du catalogue (p. 1), la matière a été répartie dans les deux premières sections par date. Les sculptures  « antérieures à l’époque romaine » (section A, nos 1-62) s’enrichissent de sculptures « gauloises », qui sont dites trouvées dans les environs (SL, nos 47-58), avec les belles statues de Roquepertuse, qui, en fait, n’est guère plus proche de Marseille que ne l’est Entremont (voir la carte 2, p. 196), mais qui sont conservées dans les musées de Marseille. La section B ne recense que « les sculptures d’époque romaine trouvées à Marseille » (nos 63-111). Puis viennent des sculptures d’origine marseillaise incertaine (section C, nos 112-122), celles qui sont « conservées à Marseille, mais trouvées sur d’autres sites ou sans provenance déterminée » (section D, nos 123-186) et enfin les dubia et incerta qui figuraient dans Espérandieu et sont des « œuvres médiévales » et des « portraits probablement modernes » (section E, nos 187-196).

 

         Le catalogue aurait pu aussi inclure systématiquement des œuvres disparues connues par des dessins anciens, comme l’est, par exemple, la cuve de sarcophage n° 108 : les notices correspondantes auraient commodément réuni des renseignements qu’il faut glaner dans l’introduction. XC, LV et BV ont ainsi le mérite de publier un « dessin tiré des manuscrits de Peiresc conservés au cabinet des Estampes, BnF, réserve 44, f° 54 » (p. XXII, fig. 2) : ce portrait, qui était apparemment bien conservé, est légendé « Crinias Massilliensis » sur le dessin, où il termine un fût hermaïque ; il figurait « sur la façade la plus en vue du clocher des Accoules » ; on apprend un peu plus loin qu’il a appartenu au cabinet de Peiresc à Aix-en-Provence (p. XXVI) et qu’il faisait « l’objet de la première note d’Émile Espérandieu en 1907 dans son recueil » (p. LXXII, n. 159 : « Espérandieu I [1907], p. 46, n. 1 »). Ce « buste de Crinias » aurait « fait partie de la série de bustes historiques apportés à Cadarache (Bouches-du-Rhône) dans la propriété des Valbelle où il a vraisemblablement été détruit à la Révolution avec l’ensemble des autres sculptures » (p. XXVI) ; la note 161 renvoie à ce sujet au site internet « curiositas.org » : le lien exact de la page (https://curiositas.org/cabinet/curios1156, consulté le 13 avril 2020) cite E. Bonnaffé, Les collectionneurs de l’ancienne France, Paris, 1873, p. 37-38, qui donne le plan de l’inventaire manuscrit du « cabinet de feu M. de Peiresc », avec une cote (f. fr. 9534) qui permet d’en retrouver la reproduction numérique (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9061088m/f30.image.r=FRANCAIS%209534, consulté le 13 avril 2020). On y trouve la mention, sans dessin, sous la rubrique « Statues de Marbre et de Pierre Antiques », d’« une statue de pierre de CRINAS (sic) fondateur des murailles de Marseille ».

 

         Mais venons-en au catalogue même, où les notices se conforment aux conventions du Nouvel Espérandieu, qui se signalent par leur clarté : le titre suivi des initiales de l’auteur et du renvoi à l’illustration est suivi d’indications en petits caractères sur le lieu et la date de découverte ainsi que la matière (sans mention de provenance pour le marbre) et les dimensions. La description, plus ou moins développée, forme le corps de la notice, commençant par l’état de conservation et se concluant par un commentaire étayé de parallèles qui justifie la datation avancée. La bibliographie, en petit corps, vient à la fin.

 

         L’ensemble exceptionnel des naïskoi découverts en 1863 rue Négrel fait l’objet des premières notices, dues à LR (nos 1-44). Ces édicules sont classés sous la rubrique des « œuvres grecques en ronde bosse », même si, présentant dans leur cadre une figure féminine assise sculptée en bas-relief, de tels monuments sont d’ordinaire rangés dans la catégorie des reliefs votifs. Une typologie précieuse est ici établie pour cet ensemble unique en calcaire local, daté de la seconde moitié du VIe siècle av. J.-C., qui pourrait provenir d’une grotte située à proximité du lieu de découverte (p. 22). Il aurait été intéressant de mentionner dans la discussion le sanctuaire rupestre aménagé à Foça au bord de la mer (A. Fenet, Les dieux olympiens et la mer, Rome, 2019, p. 325, n. 417, avec bibliographie) : les naïskoi de Marseille ne s’inséraient-ils pas dans des niches ou des anfractuosités creusées dans le rocher ? Il ne resterait de la Marseille grecque classique qu’une tête mutilée d’Hermès archaïsant en marbre que AH aimerait placer, avec une hésitation bien justifiée, vers la fin du Ve ou la première moitié du IVe siècle (n° 46). Une stèle inscrite, bien pauvrement décorée d’une petite rosace, est datée par VGR de la fin du IIe siècle av. J.-C. (n° 62) ; cependant la forme des lettres amène à l’assigner à l’époque impériale. Comme elle aurait été trouvée dans le bassin de Carénage, elle a pu être apportée dans le lest d’un navire et non de la nécropole voisine de Saint-Victor, si toutefois cette indication de provenance est exacte (voir AH, p. XVIII). Si on exclut la tête n° 46 de datation incertaine, la fière cité grecque n’a laissé aucun témoignage sculpté assuré après l’époque archaïque.

 

         La sculpture romaine de Marseille est dominée par un portrait privé en marbre restitué sur un hermès, que ER date de la fin de la République ou du début de l’Empire (n° 70, reproduit sur la couverture). La comparaison s’impose avec le portrait en bronze de L. Caecilius Jucundus à Pompéï, mais, pour le style, le pseudo-César trouvé à Arles dans le Rhône aurait pu aussi être invoqué. Un ensemble intéressant de reliefs funéraires et de sarcophages est présenté par VGR (nos 82-108).

 

         Dans les « sculptures d’origine marseillaise incertaine », j’attribuerai sans hésitation à l’Égypte lagide la belle tête pour laquelle AH avance le nom d’« Arsinoé III (?) » (n° 112). La comparaison avec une tête de Dresde d’origine égyptienne, qui avait aussi les yeux rapportés (E. Ghisellini, Due ritratti di bronzo tolemaici nel museo archeologico di Firenze, Archeologia classica 66, 2015, p. 243, n° 21), est convaincante et l’identification confortée par le rapprochement de la coiffure et des traits avec le portrait en bronze de Mantoue (E. Ghisellini, loc. cit., p. 244, n° 40). Sur la tête de Marseille, la mortaise de section carrée creusée derrière le départ des deux bandeaux de cheveux servait à fixer au sommet de la tête un ornement, peut-être un basileion ; à Dresde, les deux trous percés à l’emplacement correspondant maintenaient une stéphanè métallique. On retrouve sur ces deux têtes le trou foré par derrière au sommet de l’occiput, qui, à Marseille, ne servait pas à fixer la petite partie rapportée en marbre, car il est décentré, comme l’observe AH. Une statuette-pilier acéphale en calcaire conservée à Avignon porte la double corne d’abondance, attribut d’Arsinoé II (AH, n° 113) : cette œuvre de petit format a-t-elle été apportée à l’époque moderne à Marseille, comme l’envisage AH (p. XVIII) ? Une tête qui vient d’Alexandrie enrichit ce petit corpus égyptien à la fin de l’époque hellénistique (ER, n° 123) : comme le note ER, ce masque était complété en stuc ; de nombreux exemplaires attestent cette technique dans la sculpture de l’Égypte lagide (j’en avais dressé une liste indicative dans les CRAI 2001, 773-775, nos 1-10). Il aurait été utile de reproduire des vues des profils et de l’arrière de ce masque, pour le comparer à d’autres qui figurent une divinité barbue et moustachue de dimensions analogues, par exemple un qui était autrefois à Fribourg-en-Brisgau, bien illustré dans I. Laube, Expedition Ernst von Sieglin, Skulptur des Hellenismus und der Kaiserzeit aus Ägypten, Munich, 2012, n° 5, p. 65-66, 3 fig.

 

         Un portrait retravaillé en Auguste figure dans la même rubrique, bien que son origine marseillaise paraisse probable (ER, n° 115), alors qu’un buste du même empereur, daté de la fin de son règne, est de provenance inconnue (ER, n° 134) et qu’un dernier portrait du même est un faux (ER, n° 190, disparu). ER adopte l’analyse de D. Boschung, qui reconnaît dans le n° 115 un portrait de Néron transformé en Auguste après sa damnatio memoriae. AT commente une tête d’Antonia Minor d’aussi belle qualité que le portrait d’Auguste n° 134 et, comme lui, de provenance inconnue (n° 135).

 

         Des sculptures grecques appartenaient à la collection du comte de Choiseul-Gouffier, qui avait « refusé de rentrer en France par peur de la guillotine » (XC, LV, BV, p. XXX), ce qu’on ne saurait lui reprocher (voir aussi VGR, p. 141). Une base de brûle-parfum mérite le plus d’attention (PhJ, n° 144) : PhJ rappelle les données du débat qui porte sur l’adéquation de la représentation d’une triade apollinienne avec la dédicace inscrite à Sarapis, Isis et Anubis, tout en restant vague sur la datation (« IIe siècle av. J.-C.-Ier siècle ap. J.-C. »). On ajoutera à la bibliographie la mention de M.-A. Zagdoun, La sculpture archaïsante dans l'art hellénistique et dans l'art romain du Haut-Empire (BEFAR 269), Athènes, 1989, p. 110, n. 34, qui note que le style de la représentation n’est pas archaïsant, au contraire d’un autre relief avec Apollon citharède, alors inédit, le n° 147, que VGR a attribué à la collection Choiseul-Gouffier ; PhJ, sur l’art archaïsant, se réfère en général à cet ouvrage de M.-A. Zagdoun (p. 119, n. 646), mais la bibliographie omet de mentionner les passages où ce dernier fragment figure (PhJ, p. 120) : M.-A. Zagdoun, op. cit., p. 110, n. 34 et p. 242, n° 275. Comme Délos est considérée comme une provenance probable, il serait intéressant de connaître l’opinion de l’auteur sur la nature du marbre employé, car le relief archaïsant de la Maison du Lac y est un des rares exemples de l’emploi du marbre pentélique attesté dans l’île à la fin de l’époque hellénistique.

 

         Les quelques critiques formulées sur cet ouvrage ne peuvent en épuiser la richesse. Il donnera peut-être l’occasion de faire de nouvelles découvertes sur les provenances de sculptures ici réunies dans les catégories de provenance incertaine ou inconnue. Dans l’immédiat, saluons la réussite d’une entreprise bien servie par une réalisation matérielle de grande qualité, notamment pour les planches photographiques, qui rendent ce volume indispensable pour la connaissance de la sculpture antique.

 

 

Table des matières

 

Préface (Michel Zink), p. V

Réflexions sur le volume de Marseille (Henri Lavagne), p. VII-IX

Prochains volumes à paraître, p. XI

Remerciements (AH), p. XIII-XIV

 

Introduction

   I. Conception et classement du catalogue (AH), p. XV-XVIII avec notes p. LXVII-LXX

   II. Histoire des découvertes et des collections (XC, LV, BV), p. XVIII-LXVI avec notes p. LXX-LXXVIII

Sommaire, p. 1

 

A. Sculptures antérieures à l’époque romaine trouvées à Marseille et dans ses environs :

   I. Les œuvres grecques en ronde bosse

- Les naïskoi (« stèles ») de la rue Négrel, p. 2-23, nos 001-044 (LR)

- Autres œuvres en ronde bosse, p. 24-25, nos 045-046 (AH)

   II. Les œuvres « gauloises » :

- Roquepertuse, p. 25-40, nos 047-055 (SL)

- Autres provenances, p. 40-41, nos 056-058 (SL)

   III. Documents à décor gravé : p. 42, n° 059 (XC) ; p. 42, n° 060 (LV, SL) ; p. 43-44, n° 061 (LV, MS)

   IV. Une stèle funéraire grecque, p. 44, n° 062 (VGR)

 

B. Sculptures d’époque romaine trouvées à Marseille

   I. Ronde bosse

1. Personnages mythologiques : p. 45-46, n° 063 (LR) ; p. 46-48, nos 064-065 (AH) ; p. 48-50, nos 066-068 (PhJ) ; p. 50-51, n° 069 (ER)

2. Portraits : p. 51-53, n° 070 (ER)

3. Personnages non identifiés et fragments divers : p. 53-54, n° 071 (VGR) ; p. 54-55, n° 072 (AH) ; p. 55-56, nos 073-074 (ER) ; p. 56, n° 075 (AH) ; p. 56-57, n° 076 (ER) ; p. 57, n° 077 (AH)

   II. Reliefs

1. Vase à décor en relief : p. 57-59, n° 078 (AH)

2. Reliefs votifs : p. 59-64, nos 079-081 (AH)

3. Reliefs et fragments de monuments funéraires, sarcophages : p. 64-82, nos 082-108 (VGR)

4. Reliefs architecturaux figurés : p. 83-88, nos 109-111 (TB) et p. 88-90 (ARC)

 

C. Sculptures d’origine marseillaise incertaine

   I. Ronde bosse : p. 91-92, nos 112-113 (AH) ; p. 92-93, n° 114 (PhJ) ; p. 93-94, n° 115 (ER) ; p. 94-96, nos 116-117 (AH) ; p. 96-97, n° 118 (ER)

   II Reliefs funéraires : p. 97-102, nos 119-122 (VGR)

 

D. Sculptures trouvées ailleurs qu’à Marseille, ou d’origine inconnue

   I. Ronde bosse

Personnages mythologiques : p. 103, n° 123 (ER) ; p. 103-105, nos 124-126 (AH) ; p. 105-107, nos 127-129 (PhJ) ; p. 107, n° 130 (ER) ; p. 107, n° 131 (PhJ)

Autres œuvres en ronde bosse : p. 108, n° 132 (AH) ; p. 108-109, nos 133-134 (ER) ; p. 109-111, nos 135-136 (AT) ; p. 111-115, nos 137-141 (ER) ; p. 115-116, n° 142 (VGR)

   II. Reliefs votifs et autres (sauf funéraires) : p. 116, n° 143 (AH) ; p. 117-121, nos 144-150 (PhJ) ; p. 121-123, nos 151-152 (VGR) ; p. 123, n° 153 (AH) ; p. 123, n° 154 (XC)

   III. Reliefs funéraires : stèles, urnes, sarcophages

Stèles : p. 123-127, nos 155-160 (VGR) ; p. 127-129, n° 161 (AH) ; p. 129-133, nos 162-168 (VGR)

Urnes : p. 133-134, nos 169-170 (VGR)

Sarcophages : p. 134-145, nos 171-183 (VGR)

   IV. Fragments divers : p. 145, nos 184-186 (AH)

 

E. Œuvres médiévales et portraits probablement modernes répertoriés dans Espérandieu : p. 146, nos 187-188 (AH) ; p. 147-151, nos 189-195 (ER) ; p. 151, n° 196 (AH)

 

Annexe I : Liste des conservateurs des différents musées de Marseille ayant eu la responsabilité de collections antiques, p. 153 (BV, LV, XC)

Annexe II : La koré de Lyon, une fausse Marseillaise, p. 155-158 (AH)

Annexe III : Destin des grandes collections marseillaises d’antiquités entre 1550 (environ) et 1900. Essai de diagramme synthétique, p. 159-161

 

Index

   I. Index général, p. 163-169

   II. Index des noms propres cités dans l’introduction, p. 169-171

   III. Index épigraphique (anthroponymes et théonymes), p. 171-172

   IV. Index des provenances des sculptures de ce volume, p. 172

Listes de concordances

   I. Concordance numéros d’inventaire des musées/NEsp. VI, p. 173-174

   II. Concordance catalogue Froehner 1897/NEsp. VI, p. 175

   III. Concordance ancien recueil d’Espérandieu/NEsp. VI, p. 176

Abréviations et bibliographie, p. 177-194

 

Cartes

Carte 1. Plan de Marseille avec les lieux de découverte des sculptures, p. 195

Carte 2. Les environs de Marseille, p. 196

Carte 3. Carte de la Méditerranée avec la provenance des sculptures du catalogue, p. 197

Table des illustrations, p. 199-200

Crédits photographiques, p. 202

 

Planches 1-204

 

Table des matières