Daussy, Stéphanie Diane (dir.): L’Architecture flamboyante en France. Autour de Roland Sanfaçon (coll. Architecture et urbanisme). 500 p., 20 x 27 cm, ISBN : 978-2-7574-2865-8, 45 €
(Presses Universitaires du Septentrion, Villeneuve d’Ascq 2019)
 
Compte rendu par Sophie Jugie, Musée du Louvre
 
Nombre de mots : 2761 mots
Publié en ligne le 2021-01-13
Citation: Histara les comptes rendus (ISSN 2100-0700).
Lien: http://histara.sorbonne.fr/cr.php?cr=3801
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          Le projet de l’ouvrage est né d’un constat : la synthèse proposée en 1971 par Roland Sanfaçon, professeur à l’Université Laval (Québec), sur l’architecture française de la fin du XIVe aux premières décennies du XVIe siècle, celle qu’on qualifie de « flamboyante », continue à faire référence, près d’un demi-siècle après sa publication. L’ouvrage reste l’étude la plus complète et approfondie en français sur cette architecture qui a longtemps été considérée comme une forme décadente de l’art gothique par rapport à sa forme classique atteinte au XIIIe siècle, et qui a été rendue obsolète par la Renaissance au XVIe siècle.

 

         Ce travail novateur a incontestablement joué un rôle majeur pour encourager les historiens de l’art à s’intéresser à ce domaine de recherche, actuellement en plein dynamisme. Sa réédition s’imposait donc pour en faciliter l’accès aux historiens du XXIe siècle. Mais le texte a été enchâssé entre deux ensembles de contributions, « autour », puis, si on peut dire « au-delà » de Roland Sanfaçon. Si le héros de la fête est québécois, l’initiatrice du projet et directrice de la publication, Stéphanie Diane Daussy, est française, comme la maison d’édition (les Éditions du Septentrion, éditeur de cinq universités du Nord de la France). Neuf des contributeurs, universitaires et conservateur du patrimoine, sont français ou enseignent en France, tandis que trois sont des universitaires nord-américains (canadiens et américain). Aussi est-ce de ce double point de vue franco-nord-américain qu’est mise en perspective l’œuvre de Roland Sanfaçon.

 

         Dans la première contribution, Martin Pâquet (Sensibilité et solidarités : l’éthos de Laval) retrace le contexte intellectuel dans lequel évoluait Sanfaçon. L’Institut d’histoire créé en 1947 était à la fin des années 60 une structure encore assez réduite, où histoire, histoire de l’art et sciences sociales entretenaient un fécond dialogue interdisciplinaire. Des relations étroites étaient entretenues avec la recherche française, notamment avec l’École Pratique des Hautes Études et l’École des Annales. C’est ainsi que Sanfaçon avait fait sa thèse sur le Haut-Poitou aux XIe-XIIIe siècles sous la direction de Robert Boutruche (publiée en 1967). C’est à la faveur de ce long séjour en France qu’il se passionnera pour l’architecture du XVe siècle. Les moyens matériels, sur le modèle universitaire nord-américain, ont facilité son enquête, permettant des voyages d’étude avec des étudiants, dont il rapporta 6 500 photographies.

 

         Stéphanie Diane Daussy (Entre France et Canada. Ecrire une histoire de l’architecture flamboyante en 1970) précise les raisons de ce choix d’une période de l’art gothique jugée décadente ou sclérosée, et que Roland Sanfaçon s’est attelé à réhabiliter pour cela même, inscrivant l’analyse des formes dans le mouvement de l’histoire des mentalités. Dans ces années 1960 en pleine effervescence au Canada comme en France, les conditions étaient favorables pour voir dans la multiplicité des formes dans un même édifice et dans les variantes régionales la marque d’une expression personnelle des architectes. Par ailleurs, dans un Québec en recherche identitaire, cette recherche rencontrait un intérêt pour la culture française en général, mais aussi pour la période médiévale : deux mémorables expositions sur l’art médiéval y ont lieu en 1972. Du côté français, les études sur l’art gothique portaient plus sur les XIIe et XIIIe, mais le XVe siècle était loin d’être à l’abandon, dans une dynamique venue notamment de l’École des Chartes (Lasteyrie, Lefèvre-Pontalis, Aubert, Hubert, Salet), où l’étude rigoureuse des sources complétait l’analyse formelle pratiquée également par Focillon et ses héritiers (Grodecki, Bony). L’ouvrage de Sanfaçon reçoit un accueil mitigé aux États-Unis, mais il est accueilli positivement en France, notamment par Francis Salet, quoiqu’il ne respecte pas les codes de la recherche érudite (pas d’état de la question, pas de considérations historiographiques, pas d’approche critique du terme, pas de références) et se présente comme une interprétation singulière. Sa solidité est reconnue car il s’appuie sur des observations minutieuses et étendues et défend véritablement une thèse, celle de la liberté de l’artiste comme explication de la foisonnante variété des formes. Mais ce n’est guère qu’à partir des années 1990, sous l’impulsion d’Alain Erlande-Brandenburg à l’École des Chartes et d’Anne Prache à Paris IV, qu’une nouvelle génération reprendra le flambeau, comme en témoignent les contributeurs au volume, mais aussi P. Kurmann, S. Murray, Ét. Hamon, J.-M. Guillouët etc. On retrouve ces souvenirs et ces considérations dans les mots mêmes de Roland Sanfaçon, recueillis par Arnaud Timbert (A travers l’architecture flamboyante), tandis que la publication d’une Grille d’analyse des bâtiments médiévaux, 1975 fait en quelque sorte office de making-off de l’ouvrage.

 

         L’objet de ce compte rendu n’est pas le livre de Roland Sanfaçon lui-même, mais il faut présenter rapidement ce texte ici réédité sans changement, y compris sa bibliographie, mais avec une illustration renouvelée. L’analyse repose principalement sur l’étude des variations des éléments muraux et porteurs (voussures, colonnettes, chapiteaux, piliers), sans oublier bien sûr façades et portails, mais sans s’attarder sur les remplages des fenêtres qui ont donné leur nom au style. L’enquête est menée dans un cadre régional qui met en évidence les terres d’élection du style et leurs interactions en elles, ainsi qu’avec les réalisations hors de France. La recherche de l’originalité et du dépassement des formules du gothique rayonnant conduit à la mise en valeur de certaines parties de l’édifice, la variété des points de vue induisant une « participation mouvementée du fidèle ». La conclusion souligne que plus que la destruction de l’ordre élégant, logique et unitaire de l’architecture gothique classique et rayonnante, plus qu’un goût de la prouesse gratuite, cette architecture, avec sa propension au retour à des formes du passé, reflèterait les préoccupations d’une expression individuelle et originale, et « l’idéal communautaire d’une société où les relations personnelles iraient de soi, dans une sorte d’élan mystique et amoureux ». Poursuivant d’une certaine façon le point de vue de Courajod (jusqu’à parler de « détente » à propos du style parisien des années 1500), Sanfaçon voit dans cette architecture l’expression d’un « humanisme de l’homme du Nord », qui intégrera et assimilera sans difficulté les éléments de la Renaissance à son stade maniériste, mais qui sera condamné par l’adhésion des souverains européens à une Renaissance classique synonyme d’une conception unitaire du monde. Il conclut que « les rois de France, pour mieux mettre en valeur leur personne et imposer leur pouvoir, sont venus à bout d’un art qui prônait l’échange et la participation entre tous les hommes ».

 

         Le texte de 1971 est utilement complété par les réflexions actuelles de Roland Sanfaçon (L’architecture flamboyante en France, 2016). À la lumière des études de ces dernières années, monographies d’édifices, études techniques, synthèses, il réaffirme sa conviction : alors que le style rayonnant met le décor au service de l’unité du bâtiment, le flamboyant met en évidence les diverses parties des édifices, le décor valant pour lui-même. Il insiste sur certains sujets (les chapelles privées, les portails), ou régions (Normandie, Bourgogne), qui mériteraient des approfondissements, ainsi que les contacts internationaux.

 

         Les neuf études qui suivent ne visent nullement à l’exhaustivité, car chacun reconnaît que le temps de la synthèse n’est sans doute pas venu malgré les incontestables progrès dont témoignent les 45 pages de bibliographie 1970-2019. Mais elles donnent un aperçu des problématiques qui structurent de nos jours ce champ de recherche. Xavier Barral i Altet (Notes sur la naissance d’un concept au XIXe siècle) et Nicolas Reveyron (L’art flamboyant en France à l’automne du XIXe siècle) apportent une perspective historiographique qui éclaire, notamment à travers une histoire des termes, le jugement sévère longtemps porté sur cette période de l’art français, au regard de considérations nationalistes (d’ailleurs enjeu majeur concernant l’art gothique en général) et morales (le flamboyant étant jugé à l’aune de notions de pureté ou de décadence). La thèse de la liberté de l’artiste comme clé de lecture de l’architecture flamboyante, défendue par Roland Sanfaçon, n’en apparaît que plus innovante et féconde.

 

         Les trois textes suivants ont comme point commun de réfléchir à la question des caractéristiques régionales. En repartant de l’exemple des Chambiges, Florian Meunier (La création flamboyante entre échanges et projets) souligne le rôle des architectes qui transfèrent, mais aussi adaptent, des caractéristiques architecturales d’une région à l’autre, en l’occurrence Paris et l’Ile-de-France, la Picardie, la Champagne et le Nord de la Bourgogne, particulièrement quand il s’agit d’édifices aussi emblématiques que les cathédrales. Il apporte des précisions sur la façon dont étaient élaborés et validés les partis architecturaux, avec des plans et des élévations dessinés mais pas de maquettes, et comment ces projets pouvaient être adaptés en cours de construction. Il souligne le rôle des commanditaires, invite à prendre en compte avec précision la chronologie des campagnes de construction selon les régions : en raison de la situation politique, elles battent leur plein dans l’Ouest à partir de 1450, à Paris et à l’Est de Paris à partir de 1490, tandis que les troubles de la seconde moitié du XVIe siècle laisseront bien des chantiers inachevés. Jacques Dubois (L’architecture dans le Midi et le gothique tardif. État de la question) propose de réviser une histoire écrite à partir du nord de la France. Son hypothèse est celle d’une « autre modernité » de l’architecture gothique au sud (par exemple La Chaise-Dieu et la cathédrale de Saint-Flour), et d’un sens de diffusion à réinterroger entre ces réalisations méridionales et les chantiers des princes des fleurs de lys, alors que le duc de Berry est présent dans ces territoires comme gouverneur du Languedoc. Le rôle d’architectes venus du nord est néanmoins perceptible dans la création de portails, la reprise des chantiers des cathédrales, la construction de nouvelles églises, mais aussi de cloîtres, de clôtures de chœur et de jubés qui seraient davantage à prendre en considération. Au tournant des années 1500, de grandes figures de prélats, comme les Amboise, faisant appel aux architectes en vogue à la cour de France pour des chantiers particulièrement démonstratifs, ont assurément joué un rôle majeur (peut-être pas plus qu’auparavant, mais les sources plus abondantes nous renseignent davantage), quand des réalisations plus modestes restaient tributaires de la tradition locale. Pour l’Auvergne, Bruno Phalip (Aux origines du gothique flamboyant en Auvergne [diocèses de Clermont et de Saint-Flour] ou l’art instrumentalisé et sécularisé par les grands laïcs) replace la question du flamboyant dans un tableau d’une implantation assez tardive et marginale du style gothique dans une région longtemps fidèle au style roman. Les traits caractéristiques du flamboyant apparaissent souvent comme greffés sur des structures plus traditionnelles, notamment dans les chapelles privées et les résidences, et sont adoptés par l’ancienne noblesse et la bourgeoisie, alors que le style rayonnant reste associé à l’allégeance au roi. En revanche, après les réalisations pour le duc de Berry à la fin du XIVe siècle, c’est bien ce modèle royal qui fait à la fin du XVe siècle du duché de Bourbon, par la volonté de ses ducs et de leur entourage, une terre d’élection du flamboyant.

 

         Les quatre dernières études montrent encore ce que pourraient apporter d’autres questionnements. Celui du lien de ces formes avec la pratique religieuse du temps, pour Thomas Flum (Les façades du gothique flamboyant dans l’Est de la France et la « dévotion moderne »), qui étudie les trois façades structurellement proches de Toul, Saint-Nicolas-de-Port et Notre-Dame-de-l’Épine (trois chantiers remarquablement documentés). Il souligne le rôle des dévotions contemporaines sur les formes retenues pour intégrer de grandes représentations du Christ en Croix. Claire Labrecque (Scénographie du portail flamboyant des églises du Nord-Est de la France et évocation du passé) aborde aussi la question des sources d’inspiration, mais sous l’angle du décor sculpté. Dans la référence aux modèles des grands portails du XIIe et XIIIe siècle du cœur du royaume, lors de l’édification des portails du XVe et XVIe siècles et plus particulièrement de leurs voussures narratives, la référence au passé est sans doute aussi une affirmation d’allégeance dans cette phase d’unification du royaume. Elle revient aussi, à partir de l’exemple de la clôture de chœur de la cathédrale d’Amiens, sur la question de l’influence des retables des Pays-Bas, mais aussi du théâtre. Pour Alain Salamagne (« Voir et visiter ». Le rôle de l’expertise au début du flamboyant), l’étude des sources relatives aux chantiers du duc de Berry permet des analyses approfondies sur la relation entre les artistes et ce commanditaire hors norme, et de mieux comprendre la conduite des chantiers. Une nouvelle interprétation du voyage de Gilles Largent et Jacquemart Donne au château de Mehun-sur-Yèvre en 1392, non comme un voyage d’étude (ce que fut celui de Thomas Michelin et Jehan de Nantes en 1412-1413), mais comme un appel à une expertise nécessaire à la réalisation des projets d’André Beauneveu, apporte un éclairage nouveau sur la recherche de modernité et de qualité, et sur la liberté de création des artistes. Enfin, Anne Vuillemard-Jenn (La polychromie de l’architecture flamboyante. Vers une relecture de la structure) à partir d’exemples documentés lors de restaurations récentes, en France et dans l’espace germanique, pour des bâtiments neufs ou alors rénovés, nous propose une synthèse tout à fait nouvelle, soulignant une conception du décor coloré qui gagne une certaine indépendance par rapport à l’architecture.

 

         La post-face de Robert Bork (Roland Sanfaçon and the Rehabilitation of Flamboyant architecture) trace une vaste perspective historiographique de Vasari à E. Panofsky, P. Frankl, J. Białostcki et F. Cali, et livre une analyse approfondie de l’Architecture flamboyante, puis des synthèses récentes de M. Kavaler (2012), P. de la Riesta (2018) et lui-même (2018) : on comprend combien l’étude pionnière de Sanfaçon a été un véritable « pivot » des réflexions sur la transition entre gothique et Renaissance.

 

         Un index, la liste des illustrations et les biographies des auteurs complètent la publication. Mais il faut signaler aussi la mise en ligne des photos prises par Roland Sanfaçon (40 000 clichés pour 3000 édifices) dans la base Agorha de l’INHA.

 

         Ce bref survol permet de comprendre que l’entreprise est bien plus qu’une réédition ou qu’un hommage de disciples, mais une mise en perspective historiographique qui se propose d’« écrire les premières lignes d’une réflexion critique sur une architecture encore méconnue ». C’est dire l’utilité de cet ouvrage pour nourrir la réflexion de tous ceux qui s’intéressent à l’architecture, et en général à l’art de la fin du Moyen Âge en France. Il est amusant de constater l’adhésion à l’esthétique flamboyante de cet ouvrage « prismatique », qui croit à la mise en abîme, à la référence au passé, à la multiplicité des points de vue et aux partis-pris des auteurs. Il montre en tout cas que bien des études monographiques et thématiques restent à mener, suivant les nombreuses pistes mises en avant par les contributeurs (mais on pourrait insister, entre autres, sur l’importance de s’appuyer sur les chronologies assurées et sur la prise en compte, dans l’analyse, des catégories et de l’usage des édifices religieux), avant de tenter une synthèse qui rendrait définitivement obsolète l’ouvrage pionnier de Roland Sanfaçon.

 

 

 

Sommaire

 

Remerciements...p. 13

Liste des abréviations et des acronymes...p. 15

Avant-propos...p. 17

Arnaud Timbert

 

Préface.

Sensibilités et solidarités : l’ethos de Laval...p. 19

Martin Pâquet

 

I. Autour de Roland Sanfaçon

Présentation.

Entre France et Canada.

Écrire une histoire de l’architecture flamboyante en 1970...p. 30

St. Diane Daussy

 

Annexe 1.

A travers l’architecture flamboyante.

Entretien avec Roland Sanfaçon, 19 octobre 2009...p. 71

Arnaud Timbert

 

Annexe 1bis.

Bibliographie de Roland Sanfaçon...p. 85

St. Diane Daussy

 

Annexe 2.

Grille d’analyse des arts monumentaux médiévaux, 1975...p. 91

Roland Sanfaçon

 

II. L’Architecture flamboyante en France

L’Architecture flamboyante en France, 1971, 2e édition

Roland Sanfaçon

 

Préface...p. 123

Marcel Durliat

 

Avant-propos...p. 125

Introduction...p. 126

 

Chapitre 1.

La recherche fébrile de l’individuel...p. 138

 

Chapitre 2.

La découverte d’une logique dans l’expression individuelle...p. 158

 

Chapitre 3.

Les renaissances régionales...p. 170

 

Chapitre 4.

Un idéal communautaire : la région parisienne...p. 196

 

Chapitre 5.

De la détente à l’expansibilité : les grandes options régionales...p. 224

 

Conclusion...p. 282

Bibliographie...p. 291

Annexes...p. 295

 

L’architecture flamboyante en France, 2016...p. 298

Roland Sanfaçon

 

III. Autour de L’Architecture flamboyante en France

Architecture secondaire et tertiaire ou architecture flamboyante.

Notes sur la naissance d’un concept au XIXe siècle...p. 316

Xavier Barral i Altet

 

L’art flamboyant en France a l’automne du XIXe siècle...p. 334

Nicolas Reveyron

 

La création flamboyante entre échanges et projets...p. 350

Florian Meunier

 

L’architecture dans le Midi et le gothique tardif. État de la question...p. 362

Jacques Dubois

 

Aux origines du gothique « flamboyant » en Auvergne (dioceses de Clermont

et de Saint-Flour) ou l’art instrumentalisé et sécularisé par les grands

laics...p.382

Bruno Phalip

 

Les façades du gothique flamboyant dans l’Est de la France et la «

dévotion moderne » ...p. 398

Thomas Flum

 

« Voir et visiter ». Le rôle de l’expertise au début du flamboyant...p. 412

Alain Salamagne

 

Scénographie du portail flamboyant des églises du Nord-Est de la France et

évocation du passé...p. 428

Claire Labrecque

 

La polychromie de l’architecte flamboyante.

Vers une relecture de la structure...p. 454

Anne Vuillemard-Jenn

 

IV. Bibliographie (1970-2019)

Une bibliographie de l’architecture flamboyante en France, 1970-2019...p. 471

Jacques Dubois, St. Diane Daussy (col.)

 

Postface.

Roland Sanfaçon and the Rehabilitation of Flamboyant Architecture...p. 515

Robert Bork

 

Index général...p. 527

Liste des illustrations et crédits photographiques...p. 543

Biographies des auteurs...p. 559